Guyane anglaise
Début novembre 1948, Majoie se rend en Guyane britannique, voisine du Surinam, où sa dernière composition 'Variations sur une chanson surinamienne' est aussi au programme. De retour au Surinam, elle donne un autre concert pour la jeunesse. Dans une lettre adressée au rédacteur en chef de Het Nieuws le 15 novembre 1948, un père écrivait poétiquement : "... comment là, sur la scène, sous la faible lumière des lampes du haut, sur un fond noir sombre, la fée élancée en robe vert olive, avec des mouvements rapides des doigts, laissait doucement le piano fredonner, chanter, frétiller, tout ce qu'elle voulait". Cette musique, selon ce père de famille, a certainement contribué au "raffinement de la jeunesse du Surinam, de la bourgeoisie de demain".